http://fr.vans.free.fr/index-vencelikove.htm http://fr.vans.free.fr/index.clausel.htm
1 II. Le contexte diplomatique de la campagne de Pologne de 1657 de György Rákóczi II
2   https://hu.wikipedia.org/wiki/II._J%C3%A1nos_K%C3%A1zm%C3%A9r_lengyel_kir%C3%A1ly
3  Kármán Gábor
4 II. LE FOND DIPLOMATIQUE DE LA CAMPAGNE DE GYORGY RÁKÓCZI EN 1657*
5 La campagne de 1657, lancée avec l'intention d'acquérir le trône polonais et au moins la plus grande partie du territoire de Rzeczpospolita, non seulement II. Le rčgne de György Rákóczi, le prince de Transylvanie, est l'un des événements les plus connus de toute l'histoire du prince de Transylvanie au XVIIe sičcle. L'évaluation de l'échec des plans ambitieux et surtout de la capture de l'armée de Transylvanie par les Tatars a commencé immédiatement aprčs l'arrivée de la tragique nouvelle, et il ne faisait aucun doute que les contemporains évaluaient l'échec du prince comme un tournant du destin, un coup divin - surtout ŕ la lumičre de la crise politique qui a suivi, des campagnes ottomanes dévastatrices et de la guerre civile rongeante. Ŕ ce jour, la guerre en Pologne perdure dans la pensée historique comme la fin de l'âge d'or de la Transylvanie - ce qui n'est pas étonnant, si l'on considčre qu'aprčs un demi-sičcle, les guerres ottomanes ont de nouveau ravagé la terre de la principauté, et aprčs plus d'une demi-décennie de crise, un pays politiquement fracturé a émergé, ayant perdu un tiers de son territoire. Sachant tout cela, il est naturel que męme parmi les contemporains, il y ait eu un débat houleux sur qui était responsable des développements tragiques, et bien que certains des prédicateurs protestants aient appelé au repentir en exprimant la responsabilité commune de tout le peuple, l'identification des personnes personnellement responsables ne pouvait pas non plus ętre négligée. L'un des discours dominants - qui est apparu dans de nombreux endroits, de la littérature de débat ouvert aux canaux incités, divers ouvrages d'écrivains d'histoire ou de correspondance privée - a appelé ŕ rendre compte des erreurs commises par le prince, et surtout de son péché moral, de son arrogance et du manque d'évaluation des dotations réalistes. Au contraire (et męme dans une certaine mesure anticipant cela), un contre-discours a émergé qui a exonéré Rákóczi et a transféré la responsabilité de la guerre perdue au roi suédois Gusztáv Károly X (1654-1660), qui l'aurait laissé tomber, l'a męme trahi et a été accusé de trahison.
6  
7 L'étude a été réalisée dans le cadre du programme OTKA NK n° 81984.
8  
9 Sur le débat contemporain entourant la campagne de 1657 et son rôle dans le discours public du XVIIe sičcle, cf.
10  Jónás Ilona:
11 Appréciation de la campagne polonaise de 1657 en Transylvanie. Annales UniversitatisScientiarum Budapestiensis de Rolando Eöt vös Nominatae, Sectio Historica 6. (1964) 109–121.;
12  Lukács Zs. Tibor:
13 Współczesna propaganda i II. Werdykt György Rakoczego. Aetas (1995: nr 1-2) 68-94;
14 Csorba Dávid:
15 L'année 1657 est l'un des topos littéraires de la vision nationale de l'histoire. Studia Litteraria 41. (2003) 132–154.;
16 Szabó András Péter:
17  
18  
19  
20  
21  
22 Pendant trčs longtemps, cette question a été au centre de l'intéręt de la littérature traitant en détail de l'histoire de la guerre de 1657. Ceci est dű au fait que, bien que l'historique des événements opérationnels de la campagne ait été compilé et que les manśuvres militaires aient été présentées ŕ plusieurs reprises, parmi les manśuvres diplomatiques derričre les actions militaires, seule la II. Des consultations entre György Rákóczi et Gusztáv Károly X ont été découvertes.
23  
24 La circonstance importante est que la documentation ŕ ce sujet dans les archives d'État de Stockholm est conservée aussi intacte que possible ŕ la fin du XIXe sičcle.
25 Szilágyi Sándor
26 apparu dans ses publications sources, n'a fait qu'accroître la prédominance du sujet dans les reconstructions historiques.
27  
28 Bien que, du point de vue du sujet, les rebondissements de la relation suédo-transylvaine revętent bien sűr une importance particuličre, il semble disproportionné qu'une tentative sérieuse de connaître la réaction de Porto de 1657, bien plus importante du point de vue du tournant d'une époque, n'ait été faite que dans la derničre décennie ; pendant ce temps, les aspects liés aux aspirations centrales de la monarchie des Habsbourg, qui ont également joué un rôle important dans la crise aprčs 1657, ou la politique de l'ordre royal hongrois n'ont pas reçu autant d'attention.
29  
30 C'est pourquoi, dans mon étude, je tente de rétablir l'équilibre et de fournir une description complexe des jeux diplomatiques entourant la campagne polono-russe, de ses débuts ŕ la Seconde Guerre mondiale. Jusqu'au retour des restes de l'armée de György Rákóczi.
31 Les succčs de l'alliance suédo-transylvaine de janvier ŕ juin 1657
32 II. György Rákóczi fut condamné par nombre de ses contemporains ainsi que par de nombreux historiens ultérieurs pour sa démarche précipitée et irréfléchie, męme si lorsqu'il lança ses armées vers la Pologne le 18 janvier 1657, il était déterminé ŕ franchir le pas décisif dans l'affaire d'une série de négociations diplomatiques sans cesse renouvelées depuis plus de sept ans. La maison Rákóczi a remporté le trône de Pologne en 1650                                  
33 KÁRMÁN GÁ BOR
34  
35 Les récits les plus importants et détaillés de la campagne de 1657 :
36 Szilágyi Sándor:
37 György Rákóczy II. (Biographies historiques hongroises) Bp. 1891. 172–198.; https://fr.wikipedia.org/wiki/Traité_de_Radnot
38 Carl Wibling:
39 Carl X Gustaf et Georg Rákóczy II. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jerzy_Sebastian_Lubomirski
40 Gebei Sándor:
41 II. Campagne de György Rákóczi en Pologne, 1657. Hadtörténelmi Közlemények 105. (1992 : n° 2) 30–64.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_II_Casimir_Vasa
42 Uő:
43 II. La politique étrangčre de György Rákóczi (1648-1657). Bp. 2004. 147–194.; respectivement sa version antérieure : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_X_Gustave
44
45 : II. La politique étrangčre de György Rákóczi, prince de Transylvanie (1648-1657). (Acta Academicae Pedagogicae Agriensis. Série Nova, sectio historiae23.) Eger 1996.
46  
47 Du matériel d'archives suédois, Riksarkivet, Stockholm (ci-aprčs RA); Diplomatica Turcica bihang Transylvanica vol. 2–4, ou le Riksregistraturet (ci-aprčs RR) publié dans un imprimé séparé
48 Carl Evert Taube
49 baron, grâce ŕ la collaboration du directeur des archives de l'époque : La Transylvanie et la guerre du Nord-Est
50  
51 I–II Éd. Sándor Szilágyi. Év. 1890–1891. (ci-aprčs EEKH).
52  
53  
54  Papp Sándor:
55 II. György Rákóczi et la Porta. Dans : Le cycle complet de la fortune i. M. 99-170, ici 146-161. Les années 1657-1658 Dans mon article sur l'ambassade de Sučde ŕ Konstantiná Poly en 2016, j'ai moi-męme couvert le changement d'attitude du port envers la Transylvanie de maničre relativement détaillée :
56  Kármán Gábor:
57 Diplomatie suédoise ŕ la Porte 1657–58. Claes R
58 ĺ
59 lamb et l'ambassade de Gotthard Welling ŕ Constantinople. Sic Itur ad Astra 13. (2001 : Nos. 1-2) 53-85, respectivement. l. encore
60  B. Szabó János
61 és        
62 Sudár Balázs
63 écrit dans ce numéro. – Les premičres étapes pour cartographier la réaction des principaux acteurs de la politique de l'ordre hongrois ŕ la campagne de 1657
64  
65  
66  
67  
68 lors de ses tentatives de négociation, les interlocuteurs ont bien sűr changé au fil du temps, mais il a semblé au prince qu'une situation aussi favorable n'avait jamais existé auparavant. Au cours des années précédentes, non seulement il réussit ŕ faire des voďvodes de Moldavie et de Havašalföld ses sujets, en leur soutirant des paiements d'impôts et des promesses d'aide militaire, mais en septembre 1656, ses négociations avec l'hetman cosaque Bohdan Khmelnytskyi, qui furent pleines de rebondissements, furent conclues avec succčs, et ainsi une alliance de défense fut conclue entre les deux facteurs politiques.
69  
70 L'armée d'intervention dirigée par le prince reflčte également la complexité de son systčme fédéral : outre les 18 000 cavaliers et les 5 000 fantassins venus de Transylvanie, 6 000 soldats viennent des deux voďvodies, et en février 20 000 cosaques la rejoignent
71  
72 Pourtant, le prince de Transylvanie ne serait gučre parti avec ses armées si, outre les alliés d'Europe de l'Est, il n'était parvenu ŕ conclure un contrat trčs favorable avec l'une des grandes puissances de l'époque, le Royaume de Sučde, fin 1656. Aprčs des initiatives sporadiques antérieures II. En 1655, György Rákóczi recommença ŕ rechercher activement le contact avec Gusztáv Károly X en 1655, lorsqu'il fut confronté aux incroyables succčs du roi suédois dans sa campagne contre Rzeczpospolita. L'Union polono-lituanienne, affaiblie par la guerre contre Moscou, qui durait déjŕ depuis un an avec de lourdes pertes, et ses propres tensions internes, s'effondre ŕ la vitesse de l'éclair lorsque les troupes du roi de Sučde arrivent : les hostilités commencent en juillet 1655, et fin octobre, Varsovie et Cracovie sont déjŕ sous le contrôle de Gusztáv Károly X, un groupe important de magnats lituaniens déclare qu'il accepte un roi de Sučde comme souverain, et le roi de Pologne J ános Kázmer (1648-1668) quitte le pays et se réfugie en Silésie.
73  
74 Pas étonnant si .
75 CONTEXTE DIPLOMATIQUE DE LA GUERRE DE POLOGNE DE 1657
76  
77  
78 A propos de tous ces l. en détail
79 Gebei S.:
80 II. La politique étrangčre de György Rákóczi i. M. 16–147 ; 
81  KármánGábor:
82 La politique étrangčre de Transylvanie aprčs la paix de Westphalie. Bp. 2011.
83  
84 Les chiffres proviennent d'une lettre envoyée ŕ l'ambassadeur de Sučde prčs de Rákóczi, Heinrich Coelestinus von Sternbach, ŕ Gusztáv Károly X (entre Jarosław et Przemyśl, 12/22 février 1657). EEKH II. 272. Il est concevable que l'armée ait été complétée par la suite par de nouveaux contingents, car plusieurs rapports des derniers stades de la guerre indiquent un nombre total plus élevé d'environ 60 000 hommes. Par exemple, György Szelepchényi III. Dans son rapport ŕ Ferdinand (camp prčs de Przeworsk, 5 mars 1657). Archives nationales hongroises, Budapest (ci-aprčs MOL); Archives de la chancellerie hongroise, A 98, Transylvanica fol. 1165 r. Attribué au duc d'Anhalt, mais en fait écrit par Erik Dahlberg 
85 relatio
86 Il connaît environ 24 000 Hongrois et 35 000 Cosaques (RA Militära ämnessamlingar M 1295 fol. 4v.; sur la paternité voir
87  Arne Stade:
88 Erik Dahlberg et l'histoire de la guerre de Carl X Gustafs. [Acta Universitatis Stockholmiensis. Stockholm Studies in History 12./Carl X Gustaf-studer 3.] Stockholm1967. 215.). Samuel Pufendorf, l'auteur de la chronique des actes de Gusztáv Károly X, et Hugues de Terlon, un diplomate français qui était avec le roi, connaissent environ 60 000 personnes ; ce dernier mentionne qu'il n'a pas tenu compte de la masse utilisée pour entretenir l'artillerie et le fourrage :
89 Samuel von Pufendorf:
90 Derebus a Carolo Gustavo […] gestis commentariorum libri septem. Nuremberg 1696. 257. [IV. 14.]; Mémoires du chevalier de Terlon. Pour rendre compte au Roy, de ses négociations, depuis l'année 1656. jusqu'en 1661. Tome premier. Paris 1681. 49–50. Enfin, en avril, un officier du service suédois, Patrick Gordon, a enregistré la force de l'armée de Transylvanie comme suit: 12 ŕ 15 000 cavaliers, 5 000 fantassins moldaves, 5 000 soldats et serviteurs mixtes, 2 000 artillerie, 800 soldats de la cour et 6 000 Cosaques (il n'a vraisemblablement pas vu le contingent complet de ces derniers). Tagebuch des Generalen Patrick Gordon während seiner Kriegdienste unter den Schweden und Polen vom Jahre 1655 bis 1661, undseines Aufenthaltes in Rußland vom Jahre 1661 bis 1699. I. Bd. Veröff. M.A. Obolenski - M.C. Posselt. Moscou 1849. 136.
91  
92  
93  Jan Wimmer:
94 La guerre de la Pologne avec la Sučde 1655–1660 - un aperçu opérationnel . Dans:
95  Arne Stade – Jan Wimmer
96  
97  
98  
99 II. György Rákóczi pensait qu'il aimerait partager les fruits des succčs époustouflants du roi suédois - tout comme nous ne pouvons pas ętre surpris que Gusztáv Károly X n'ait pas particuličrement répondu aux sondages du prince de Transylvanie jusqu'ŕ ce qu'il ait besoin de soutien. Cette situation se produisit ŕ la fin du printemps 1656. Gusztáv Károly X non seulement n'a pas réussi ŕ se faire élire roi de Pologne, mais il a également dű faire face ŕ un nombre croissant et ŕ une opposition organisée. L'efficacité de cela a également été augmentée par le fait que Kázmer János a réussi ŕ conclure un armistice avec Moscou grâce ŕ la médiation des Habsbourg, de sorte que le fardeau de la guerre sur deux fronts sur les champs de bataille de la Rzeczpospolita a pris fin. D'autre part, Gusztáv Károly X a réussi ŕ sécuriser Vilmos Frigyes, la capitale du Brandebourg, au moyen d'un contrat, en partie par la coercition et en partie par des offres généreuses, mais il a dű faire face au fait que son pouvoir ne suffirait pas ŕ conserver les territoires conquis. C'est pourquoi il envoya maintenant deux de ses diplomates, Heinrich Coelestinus von Sternbach et Gotthard Welling, en Transylvanie avec une offre fédérale. Plus tard, la position du dirigeant suédois en Pologne s'est encore détériorée. Ŕ l'été 1656, le tsar russe Alexey I (1645-16767) lança une attaque contre les possessions suédoises de Livonie, et bien qu'il ait remporté la plus grande bataille de la guerre avec Gusztáv Károly, prčs de Varsovie, il fut constamment expulsé du territoire de la Rzeczpospolita, entre autres, il dut abandonner la capitale polonaise. 
100  
101 Il n'est pas étonnant que lorsque le roi de Sučde fut informé en novembre 1656 II. A propos de la volonté du prince György Rákóczi de conclure l'alliance, il a communiqué la nouvelle avec beaucoup d'enthousiasme ŕ ses conseillers et a immédiatement cédé sur les problčmes entravant l'accord. Au cours des négociations suédo-transylvaines, les difficultés de communication ont été un problčme sérieux tout au long, ŕ savoir qu'il a fallu trois mois pour que le courrier de Transylvanie parvienne aux mains du roi de Sučde. Le 6 décembre 1656, Sternbach et Welling signčrent le document connu sous le nom de Traité de Radnot sans ętre au courant de la position finale de leur souverain sur plusieurs questions : le texte de l'accord y faisait référence pour de nouvelles négociations. En tout cas, les questions clarifiées avec succčs dans le document esquissaient un plan peut-ętre ambitieux, dans lequel les territoires de la Rzeczpospolita auraient été divisés entre le roi de Sučde et le prince de Transylvanie (certains territoires ont été donnés ŕ l'électeur de Brandebourg, Vilmos Frigyes, et ŕ Bogusław Radziwiłł, connu comme le chef des protestants lituaniens). Károly X. Gusz táv aurait également autorisé l'utilisation du titre royal polonais ŕ II. Ŕ György Rákóczi.
102  
103  
104 KÁRMÁN GÁ BORStockholm 1973. 337–339.;
105  Robert I. Frost:
106 Aprčs le Déluge. Pologne-Lituanie et la Seconde Guerre du Nord, 1655-1660. Cambridge 1993. 46–47.;
107  Peter Englund:
108 L'invincible. Ŕ propos de l'čre de la grande puissance suédoise et d'un homme en son sein. Stockholm 2000. 190–195.;
109  Andrej Kotljarchuk:
110 Dans L'Ombre de la Pologne et de la Russie : Le Grand-Duché de Lituanie et de Sučde dans la crise européenne du milieu du 17
111  
112 Century. (Södertörn Doctoral Dissertations 4.) Huddinge 2006. 91–183.;
113 GebeiS.:    
114 II. La politique étrangčre de György Rákóczi i. M. 79–87 ;
115  Kármán G.:
116 Politique étrangčre de la Transylvanie i. M. 303–310.
117  
118  
119 Wimmer, J.:
120 Guerre de Pologne en m 353–375.;
121  Frost, R. I.:
122 Aprčs le Déluge i. M. 53–70. ;
123  Englund, P.:
124 L'invincible en m 317–438.
125 Gebei S.:
126 II. La politique étrangčre de György Rákóczi i. M. 90–119 ;
127  Kár-mán G.:
128 Politique étrangčre de la Transylvanie i. M. 312–325.
129  
130 Publication du texte du contrat Radnót : EÉKH II. 190–196. J'ai reconstitué en détail les négociations qui ont abouti au contrat dans un précédent article :
131  Kármán G.:
132 Politique étrangčre de la Transylvanie i. M. 326
133  
134  
135 Cependant, le prince de Transylvanie qui a lancé ses guerres a non seulement confiance en sa propre force militaire et celle de ses alliés, mais aussi dans le fait qu'il réussirait lŕ oů Gusztáv Károly X avait déjŕ échoué au début de 1656 : il pourrait offrir une solution politique acceptable ŕ la crise de Rzeczpospolita et aligner les personnalités influentes de l'Union polono-lituanienne. Il pouvait considérer comme un signe encourageant qu'en plus de l'élite calviniste et socinienne - qui considéraient traditionnellement la famille Rákóczi comme leurs partisans, mais qui perdaient de plus en plus leur importance dans la vie politique de la Rzeczpospolita - en 1655-1656, plusieurs princes polonais catholiques l'ont approché avec l'offre de le faire roi. En plus de la couronne Hetman Stanisław Potocki et du grand maréchal de la couronne Jerzy Lubomirski, au printemps 1656, un envoyé est également arrivé du roi Kazmér János lui-męme, qui a également fait une offre incertaine d'accorder le titre royal polonais en échange du soutien du prince.
136  
137 Ce n'est pas un hasard si György Rákóczi a essayé de le rendre aussi neutre que possible dans la manifestation de ses troupes- il n'a donc pas parlé des droits des dénominations protestantes, mais généralement de la réputation de la réputation, et a mentionné uniquement les Polonais, sans męme faire référence au fait que Károly X. Terre ospolitique.
138  
139 Il a agi de la męme maničre dans sa lettre au palatin Ferenc Wesselényi, et son envoyé Jónás Mednyánszky a informé le prince Johann Weikhard von Auersperg, le représentant de la cour des Habsbourg, le maître impérial de la cour et le président du Conseil privé (1655-1657) de la męme maničre ŕ Vienne.
140  
141 Cependant, l'association suédoise ne s'est pas cachée ne serait-ce qu'un mois. Les hommes de Jerzy Lubomirski ont intercepté le rapport envoyé par Sternbach et Welling ŕ leur roi, et l'hetman de la couronne a informé toutes les parties intéressées des développements.
142  
143 Au cours du premier mois de la campagne, le prince de Transylvanie dut faire face au fait que ses attentes concernant le soutien polonais ne seraient pas satisfaites : au lieu de l'armée de magnats attendue, Koniecpolski, Wiśniowiecki, Sapieha et d'autres, seul un trčs petit contingent le rejoignit.
144 CONTEXTE DIPLOMATIQUE DE LA GUERRE DE POLOGNE DE 1657
145  
146 346., vö. még 
147 Szilágyi S.:
148 II. Rákóczi György i. m. 156–170.;
149 Gebei S.:  
150 II. György Rákóczi, chef de Transylvanie i. M. 166-173 ;
151 UO :
152 II. Rôle de György Rákóczi dans la tentative de division de Rzeczpospolita (1656-1657). Sičcles 134. (2000) 801–848, principalement 820–835.
153 dix
154  
155 Gebei S. :
156 II. La politique étrangčre de György Rákóczi i. M. 99-102 ;
157 Karman G. :
158 Politique étrangčre de la Transylvanie i. M. 316-318, 328-329, 337-338.
159 11
160 II. Vętement de György Rá kóczi ma ni (Kolozsmonostor, 31 décembre 1656). EEKH II. 129. Sur la légitimité de la campagne de Pologne, cf.
161 Gabor Karman :
162  
163 Bellum iustum
164 -argumentation II. György Rákóczi pendant la guerre. Sičcles 140. (2006). 939–971, ici 949–954 ;
165 UO :
166 Politique étrangčre de la Transylvanie i. M. 372–378.
167 II. György Rákóczi, chef de Transylvanie i. M. 166-173 ;
168 UO :
169 II. Rôle de György Rákóczi dans la tentative de division de Rzeczpospolita (1656-1657). Sičcles 134. (2000) 801–848, principalement 820–835.
170 dix
171  
172 Gebei S. :
173 II. La politique étrangčre de György Rákóczi i. M. 99-102 ;
174 Karman G. :
175 Politique étrangčre de la Transylvanie i. M. 316-318, 328-329, 337-338.
176 11
177 II. György Rákóczi avec lui ŕ Renc Wesselé nyi (Szynyérváralja, 11 janvier 1657). MOL A 98, fol. 1145.; Protocole sur la réception de Jónás Mednyánszky ŕ Auersperg (31 janvier 1657) : Mémoires d'assemblée de Transylvanie avec introductions historiques. XI. 1649–1658. Éd. Sándor Szilágyi. Bp. 1886. (ci-aprčs EOE XI.) 249.; La propagation de Mednyánszky III. ŕ Ferdinand (sans date), annexe au rapport de Schweder Dietrich Kleihe ŕ Gusztáv Károly X (Vienne, 21/31 janv. 1657) : RA Germanica vol. 283. L. męme II. Instruction de György Rákó czi ŕ Mednyánszky (Szamosújvár, 6 janvier 1657). Monvmenta Hungarica est les mémoires hongrois. Éd. György Károly Rumy. Ravageur 1817
178 . Tome I 263–267.
179 13
180 Le palatin hongrois l'a également appris d'ici, l. Lettre de Ferenc Wesselényi III. ŕ Ferdinand (Murány, 6 janvier 1657). MOL A 21, Archives de la Chancellerie hongroise, Registre de la Chancellerie royale hongroise, Litterae palatinorum 2. cs. N° 542.
181  
182  
183 Sous la direction de l'émissaire de Lubomirski, Michał Stanisławski reste avec lui.
184 14
185 L'hetman de la couronne Potocki, cependant, a causé la plus grande déception au prince, qui a nié avoir invité Rákóczi au trône polonais, a réfuté les affirmations du manifeste du souverain de Transylvanie dans son propre manifeste et a montré un comportement hostile.
186 Le manifeste - dont la diffusion a été empęchée par tous les moyens par les Polonais - n'a donc pas eu un grand impact, il n'a fait que provoquer des tensions entre Rákóczi et ses alliés : Sternbach, qui l'accompagnait dans la campagne, a protesté ŕ cause de sa formulation et de l'omission de mention des Suédois.
187 16
188 La logique de la conquęte aurait exigé que II. György Rákóczi capture les plus grandes villes de la voďvodie de Rusz les plus proches de la frontičre de Marámaros, Lemberg, Sambor et Przemyśl, et sécurise ainsi la connexion avec son arričre-pays, mais cela n'a pas été fait en raison de l'urgence de l'époque : le prince s'est contenté de la déclaration de neutralité des villes.
189 17
190 Le fait que l'intervention de Rákóczi était nécessaire le plus tôt possible pour libérer Cracovie, qui était encerclée par les troupes polonaises, était également la raison de la signature du traité de Radnót sous une forme «ŕ moitié finie». A la nouvelle de l'arrivée des troupes de Transylvanie, Jerzy Lubomirski se retira des murs de la ville, mais le premier objectif militaire du prince resta de placer sa propre garnison dans l'ancienne capitale.
191 18
192 En usant de ce droit, acquis ŕ plusieurs étapes lors des négociations ŕ Radnót, il a pu gagner beaucoup de prestige sans un coup d'épée - ce qui n'était pas du tout un aspect négligeable, si l'on considčre que Portán devait annoncer sous peu son action en Pologne et devait montrer des succčs rapides pour éviter les répliques. II. György Rákóczi est finalement arrivé ŕ Cracovie fin mars et a reçu les clés de la ville de son commandant, le solen- 1054
193 VIN KÁRMÁN GÁ
194 14
195 Sur les attentes du chef l. lettre ŕ Zsuzsanna Lorántffy (Strij, 3 février 1657). Le livret de famille des deux György Rákóczy. (Monumenta Hungariae Historica I. : Diplomataria XXIV.) Éd. Sándor Szilágyi. Bp. 1875. (ci-aprčs MHHD XXIV.) 512.
196 15
197 Lettre de Sternbach ŕ Gusztáv Károly X (entre Jarosław et Przemyśl, 12/22 fév. 1657). EEKH II. 272. ;
198 Vilmos Schmidt :
199 II. György Rákóczi en Pologne en 1657 selon des sources polonaises contemporaines. In : Annuaires de l'Er délyi Muzeum-Egylet III. (1864-1865). Éd. Samuel Brassai. Cluj 1866. 101–109, ici 105 ;
200 Gebei S. :
201 II. La politique étrangčre de György Rákóczi i. M. 147–149.
202 16
203 Sternbach l'amena ŕ Kár X. oly Gusz táv (Szamosújvár, 27 déc. 1656/6 janv. 1657). EEKH II:260. Le prévôt de Szepes, János Pálfalvai, a informé l'archevęque György Lippay d'Esztergom que "ceux qui ont commencé ŕ publier son manifeste [c'est-ŕ-dire ŕ Rákóczi], ceux-ci ont été saisis par les Polonais, certains d'entre eux ont été pendus, et certains étaient destinés au cachot." Archives Primasi, Esztergom; Archivum Saeculare, Acta Radicalia (ci-aprčs PL AS Act. Rad.) Classis X. Nr. 196. 1657. Jan.-Jun. p. 49. Je cite des sources contemporaines (y compris publiées) ici et dans ce qui suit dans une transcription normalisée pour une meilleure lisibilité.
204 Sternbach avec lui ŕ Károly X. Gusz táv (Strij, 3/13 fév. 1657). EEKH II. 268. L'accord du premyśl avec le produit principal :
205 Szadeczky
206  
207 La Jos :
208 Une donnée pour l'histoire de la campagne de Pologne de 1657. Archives historiques (1881) 200–202 ; Sur la déclaration de neutralité de Lemberg l.
209 V. Schmidt :
210 II. György Rákóczi i. M. 102–105.
211 18
212 Les envoyés suédois ont été informés par le maire de Cracovie, Paul Würtz, de l'urgence de la situation, l. La lettre de Sternbach et Welling est apportée par X. Károly Gusz táv (Gyu la fe Hérvár, 30 nov./10 déc. 1656). EEKH II. 196-202 ; Lettre de Johann Christoph von Fragstein sur l'abandon du sičge de Cracovie III. ŕ Ferdinand (Kalisz, 26 février 1657). Archives nationales autrichiennes, Vienne; Haus-, Hof- und Staatsarchiv (ci-aprčs HHStA), Staatenabteilungen Polen Kt. 69. Conv. 1657 février fol. 99 r.
213  
214  
215 du troublé Paul Würtz.
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217 Cependant, il était quelque peu indécis quant ŕ la prochaine étape: les participants suédois au conseil de guerre tenu dans la ville, Würtz et Sternbach, ont proposé une solution selon laquelle il irait immédiatement ŕ la poursuite des troupes de Lubomirski, mais il l'a quand męme rejetée, afin que l'hetman de la couronne puisse unir son armée ŕ l'armée de Stefan Czarniecki.
218 20
219 La raison de l'absence d'action militaire décisive s'explique probablement non seulement par l'inexpérience du prince en matičre militaire - c'est-ŕ-dire qu'en dehors de la trčs courte campagne dans les montagnes en 1655, Rákóczi n'avait jamais été dans une "situation difficile" auparavant - cela aurait pu ętre contrebalancé par la routine de János Kemény, qui occupait le poste de commandant en chef de l'armée. Un rôle au moins aussi important a été joué par le fait que le prince ne voulait toujours pas renoncer ŕ la fiction que sa personne pouvait représenter une solution politique ŕ la crise de la Rzeczpospolita - les chances de cela, en revanche, auraient été fortement compromises par un mouvement militaire offensif ouvertement dirigé contre les principales dignités de la couronne polonaise. Les partis ont été sortis de l'impasse par l'arrivée du roi de Sučde. Gusztáv Károly X a appris la conclusion du traité de Radnót ŕ la mi-février, ŕ Marienburg, en Prusse, mais les négociations de paix menées ŕ Dantzig avec la médiation française ont été suspendues jusqu'ŕ ce que l'on apprenne que les troupes de Rákóczi étaient entrées sur le territoire de la Rzeczpospolita.
220 Cela a eu lieu dans la seconde quinzaine de mars : en apprenant la nouvelle, le roi de Sučde a de nouveau vu une occasion sérieuse de soutenir ses revendications territoriales par un succčs militaire et s'est immédiatement mis en route vers le sud avec son armée de 7 000 hommes, dont 3 000 soldats venus de Brandebourg, sous la direction du comte Georg Friedrich von Waldeck.
221 22
222 La réunion solennelle des deux souverains
223 CONTEXTE DIPLOMATIQUE DE LA GUERRE DE POLOGNE DE 1657
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225 19
226 II. Lettre de György Rákóczi ŕ Zsuzsanna Lorántffy (Cracovie, 29 mars 1657). MHHD XXIV. 515. ; Dans ses mémoires, Hugues de Terlon - qui a probablement obtenu ses informations de Würtz - décrit longuement les signes inquiétants qui sont apparus pendant la marche : le temps est soudainement passé du soleil le plus éclatant au froid, et le pied de Rákóczi, en descendant de son cheval, s'est pris dans l'étrier et la tęte est tombée sur son dos.
227 Terlon, H:
228 Mémoires I. M. 43. ; Il rend compte de ce dernier incident
229 Jean Bethlen
230 aussi: Histoire de la Transylvanie 1629–1673. Gué. Judit P. Vásárhelyi, éditrice. Jozsef Jankovics. Bp. 29. 1993.
231 20
232 Selon le récit de Terlon, le commandant en chef de l'armée de Transylvanie, János Kemény, s'y est également opposé :
233 Terlon, H. :
234 Mémoires I. M. 45–48. Sur l'unification des deux armées de la Rzeczpospolita en Petite-Pologne l.
235 Wimmer, J. :
236 Polens krig i. M. 378.
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238 Le roi de Sučde fit précisément savoir ŕ ses négociateurs polonais qu'il ne pouvait plus poursuivre les négociations en excluant les Transylvains et les Cosaques, l. la lettre du médiateur français Antoine de Lumbres ŕ la Couronne de France (Dantzig, 16 mars 1657). Recueil de documents concernant l'histoire des pays Roumains tirés des archives de France XVI-e et XVII-e si
239 etc.
240 embuscade Ed. IoanHudiţă. Iaşi 1929. 113–114. A propos des nombreux scandales l. encore
241 Pufendorf, S. :
242 De rébus i. M. 249–251. [ARC. 6]. A l'arrivée de la nouvelle du traité Radnót, l. Lettres de Gusztáv Károly X II. György Rákóczi et Sternbach (Marienburg, 9[/19] février 1657). EEKH II. 269–270, respectivement RA RR vol. 310. s. 262v–263r. Je signale partout les dates selon le calendrier grégorien, lŕ oů la source originale utilise la date julienne, j'indique la date la plus tardive entre accolades.
243 22
244 Gusztáv Károly X. a partagé la nouvelle de l'arrivée de Rákóczi avec Vilmos Frigyes le 19 mars. Geheimes Staatsarchiv Preußischer Kulturbesitz, Berlin-Dahlem (ci-aprčs GStA PK); I. Hauptabteilung Geheimer Rat Rep. 11. Auswärtige Beziehungen : Akten Nr. 10168. fol. 12. Au départ de son armée, l. II. L'acte a été écrit ŕ György Rá kóczi (Thorn, 13 mars [/23], 1657). RA RR vol. 311. s. 598–599. Sur les buts de guerre du roi : rapport de Waldeck ŕ Frigyes Vilmos Électeur de Brandebourg (camp prčs d'Ychlin, 28 mars 1657[/7 avril]). Urkunden und Aktenstücke zur Geschichte des Elector Friedrich Wilhelm von Brandenburg. VIII. Bd. Politische Verhandlungen. V. Bd. Hrsg. Bernhard Erdmannsdörffer. Berlin 1884. 162–163. A propos de l'existence de l'armée
245 Wimmer, J. :
246 Polens krig i.m. 378. Terlon, qui voyageait avec le roi, parle aussi d'une armée de 6 ŕ 7 000 hommes.
247 Terlon, H. :
248 Mémoires I. M. 53–54.
249 eut lieu le 11 avril 1657 : II. György Rákóczi a rendu visite au roi de Sučde dans un camp prčs de Modliborzyce, et Gusz Károly X a rendu le geste six jours plus tard ŕ Ćmielów.
250 23
251 Dans la période entre les deux cérémonies, d'autres plans ont été négociés. Gusztáv Károly X devait ętre conscient de l'ambivalence des intentions du prince de Transylvanie, car - du moins selon le récit de l'ambassadeur de France qui séjournait chez lui, le baron Hugues de Terlon - il demanda ouvertement lors d'un conseil de guerre si II. György Rákóczi veut-il tenter de gagner la noblesse polonaise pour ętre élu roi ou préfčre-t-il prendre les armes ? et a offert son soutien pour ce dernier cas. Selon Terlon, le prince de Transylvanie a déclaré qu'il n'avait pas besoin de correspondre avec les généraux polonais et a estimé que les forcer par la force lui apporterait plus de gloire. Bien que le baron français n'ait pas été présent ŕ la conférence, ses informations sur la position ferme de Rákóczi semblent authentiques, puisque les opérations suivantes visaient exactement cela : forcer les forces polonaises au combat et ainsi forcer une décision le plus tôt possible. Ŕ la lumičre de cela, les deux dirigeants décidčrent que l'armée unie partirait en direction de Brest-Litovsk. La forteresse construite au confluent du Bug et du Muhavec se trouvait ŕ un emplacement stratégique clé, sa possession aurait ouvert la voie vers la Lituanie, la Mazovie et l'Ukraine - de plus, puisqu'elle était l'une des rares zones de Rzeczpospolita restée intacte pendant la guerre jusque-lŕ, elle semblait également un choix favorable du point de vue de l'alimentation des armées.
252 24
253 En plus de la désignation des objectifs de guerre, pendant le reste des armées ŕ Zawichosti, les deux dirigeants ont également eu l'occasion de faire quelque chose pour renforcer le contexte diplomatique de leur coentreprise. Bien que Gusztáv Károly - en réponse aux demandes répétées de György Rákóczi - déjŕ ŕ l'automne 1656 ait commandé une ambassade pour visiter la Bright Porta, Claes R
254 Lamb n'est parti que des mois plus tard, et le roi n'avait alors plus eu de nouvelles de lui depuis longtemps. Afin d'assurer son alliance de sa bonne volonté, le souverain suédois a envoyé un autre émissaire, Gotthard Welling, qui venait de rentrer de l'Ukraine, ŕ Constantinople, R
255 le
256 lambal avec la męme instruction, dans laquelle le soutien de la diplomatie transylvaine est mel- 1056
257 VIN KÁRMÁN GÁ
258 Sandor Gebei
259 se référant ŕ des données russes, il écrit environ 10 ŕ 12 000 hommes, mais cite également une source qui exagčre clairement, qui place le nombre de l'armée de Gusztáv Károly X beaucoup plus élevé, ŕ 17 000 hommes.
  Gebei S. :
  II. Prince de Transylvanie György Rákóczi i. M. 209, 308 : note 57.
  23
  A propos des cérémonies et de la revue de l'armée qui ont eu lieu ŕ ces deux occasions l.
  Éva Gyulai :
  Poignée de main ŕ l'équipe suédoise : II. Représentation de György Rákóczi de la guerre en Pologne par Erik Jönsson Dahlberg raj zain (1657/1696). Dans : La rotation complčte des fortunes i. M. 451–497, ici 466–479. L'équivalent textuel des images est la « relation d'Anhalt » compilée par Dahlberg, également utilisée comme source pour la chronique de Samuel Pufendorf : RA M 1295 fol. 3r–s., 6r–s.
  24
   
  Terlon, H. :
  Mémoires I. M. 55–57. Terlon fixe la date du conseil de guerre au 12 avril et écrit qu'en plus des deux souverains, Waldeck, János Kemény et Paul Würtz y ont également participé. D'autre part, dans sa lettre ŕ Frigyes Vilmos, écrite conjointement avec Johann Ulrich Dobrzensky (Zawichost, 15 avril 1657), Waldeck rapporte une seule audience tenue par le prince de Transylvanie ce jour-lŕ, ne serait-ce que deux jours aprčs le concile ; de plus, il prétend que ce dernier n'a pas participé parce qu'il voulait éviter de porter atteinte aux intéręts de prestige de l'électeur, c'est-ŕ-dire qu'il pourrait avoir ŕ céder la priorité d'apparat ŕ II. Ŕ György Rákóczi. Hessisches Staatsachiv, Marburg (ci-aprčs HStA); Rep. 117. Nr. 303. La relatio "Anhalti" rédigée par Dahlberg rapporte également le 15 avril : RA M1295 fol. 5 r.
   
  http://vencelikove.free.fr/index1506.htm